Pétition contre le FCFA, les peuples africains cautionnent-ils la « servitude monétaire ? » Selon Kako Nubukpo, Martial Ze Belinga, Bruno Tinel, Demba Moussa Dembélé … le FCFA, c’est l’outil de la « servitude monétaire ». Alors, comment comprendre que la pétition ci-après : « Mettons fin à l’arrimage du FCFA à l’Euro et libérons l’Afrique de l’esclavage monétaire, lancée depuis le 25 juillet n’ait reçu que 05 signatures à ce jour ? https://secure.avaaz.org/fr/community_petitions/Les_peuples_africains_Mettons_fin_a_larrimage_du_FCFA_a_lEuro_et_liberons_lAfrique_de_lesclavage_monetaire/?wcstMob&utm_source=sharetools&utm_medium=twitter&utm_campaign=petition-763170-Mettons_fin_a_larrimage_du_FCFA_a_lEuro_et_liberons_lAfrique_de_lesclavage_monetaire&utm_term=cstMob%2Bfr Où sont passés ces hommes et femmes, experts et autres spécialistes qui, débordants d’engagement contre cette monnaie, demandent son abolition immédiate et sans condition ? Se posent-ils de
Crise socio-politique dans les régions anglophones du Cameroun, voici pourquoi un mauvais diagnostic risque de conduire à un mauvais traitement et plus de problèmes
Crise socio-politique dans les régions anglophones du Cameroun, voici pourquoi un mauvais diagnostic risque de conduire à un mauvais traitement et plus de problèmes Tous les protagonistes de la crise socio-politique qui frappe les deux régions anglophones du Cameroun se sont enfin accordés pour reconnaitre que la solution passe par le dialogue. Qu’attendent-ils donc pour l’engager et arrêter l’effusion de sang ? Dialogue, c’est le mot qui est dans toutes les bouches en ce moment. Mais, quand et où se tiendra t-il ? Qui y prendra part et qui le présidera ? Sur quoi portera t-il ? Tous les sujets y seront-ils abordés ou, y en a-t-il qui sont tabous ? Quel sera l’impact de ce dialogue sur la résolution du conflit ? Autant de questions parmi bien d’autres qui alimentent les discussions des Camerounais s’agissant de la crise qui frappe les deux régions anglophones du pays. Mais, toutes restent sans réponses. En attendant donc, faisons un bref rappel des faits. Tout commence